Janvier 2003
A NE PAS MANQUER
Le 1er Février, vous pourrez trouver dans les kiosques
le N°330 de La Vie de la Moto. Rien que par ce N°, il est
forcément un collector pour tout amateur de VéloSolex
(330 ou autres) qui se respecte. Mais quand vous saurez qu’un
dossier complet de 5 pages vous permettra d’apprendre encore
plein de choses sur votre monture préférée…
Ne le manquez pas !
(Le dernier dossier consacré au VéloSolex dans LVM
remontant au 01/01/1989 est malheureusement épuisé
depuis bien longtemps).
Nous nous joignons à Guy Maurice pour vous souhaiter une
…
REVUE DE PRESSE
Trouvé par Renan, un article de 2 pages dans Système
D 677 de Juin 2002.
Le B A BA de l’entretien du 3800 y est décrit dans
la rubrique « Mécanique ».
Membrane de pompe, filtre à ar, bougie, gicleur et freins
y sont passés en revue.
A LA POSTE
J’ai lu dans le petit bouquin accompagnant les timbres des
« Dix motos de légende » que « le sauveur
de Terrot, Edmond Padovani, engagé comme pilote dans les
années 30 devient directeur de l’usine en 1935. Il
conçoit le monocylindre culbuté de 500 cm3 qui sera
le succès de la marque et rénove les petites cylindrées
(…) Redoublant d’ingéniosité, des modèles
économiques voient le jour comme le Lutin. On lui doit les
premières études sur le Vélosolex. »
Gilles Patrux
Info plutôt surprenante qui risque d epasser comme une lettre
à la poste …
Marcel Mennesson a probablement été un homme trop
discret pour qu’on affecte ainsi les premières études
du VSX à un autre. Edmond Padovani fut u n »grand »
du monde de la moto, mais n’a, à notre connaissance,
jamais touché au Solex. Sauf peut-être pour se rendre
à l’usine de Dijon ? Qui sait ?
De plus son premier « galet » n’est-il pas la
Cyclorette à moteur « maison », plutôt
que le Lutin qui reprenait le moteur du Bima Peugeot ?
TranSOLEXINE
Ca patine !
Pour sa 10ème édition, la TranSolexine a réuni
115 machines à galets. L’événement fut
bien arrosé par la pluie.
Tout avait pourtant bien commencé, sous un ciel clément,
le samedi. En guise de bougies d’anniversaire, une belle expo,
qui durera jusqu’à la fin du mois, regroupait une quinzaine
de modèles anciens ou originaux, comme cette voiture Bellier,
pour enfant, à moteur de Solex. Le participant est donc baigné
dans l’ambiance dès son arrivée, à la
maison de quartier de Méans Penhouët. EN guise de prologue,
et innovation de l’année, le samedi après-midi
est consacré à l’épreuve du ¼
de litre. Prenez plusieurs VéloSolex, mettez y précisément
250 cm3 du breuvage favori de nos machines à galet, et lâchez
les « fauves » sur une piste d’1,3 km. A ce petit
jeu, c’est Marcel Peyroulan qui fera le meilleur score avec
52 minutes de rotation. Détail amusant, plusieurs participants
s’arrêteront simultanément, preuve que le VéloSolex
a une conso régulière !
En remontant le temps.
Dimanche matin, le temps se maintient. Tous les participants sont
fin prêts, les vêtements de pluie prudemment fixés
sur les porte bagages ou dans la remorque de David. Une Motobécane
BG et un Lutin dijonnais sont là pour montrer qu’il
n’y a pas que le Solex dans la vie. Dans la ville de St Nazaire,
ils sont tout de même une majorité à s’élancer
à l’assaut des « chantiers », les paquebots
de croisière en construction ne sourcillent pas au passage
de la meute des 2200 et 5000, qui arrive bientôt sur le remblai
de La Baule. De l’ambiance « sortie d’usine »
des années 50 propice au seul 300, nous voici maintenant
dans l’ambiance « Bon chic Bon genre » des années
70 et des 3800. Les Solex, intemporels continuent leur route à
travers les marais salants pour finalement s’arrêter
à Piriac. Pique-nique pour tout le monde et repos bénéfique
pour les galets.
Il a plu sur la Lune.
Jean Bernard en profite pour nous présenter son Micron
rouge qui s’est transformé pour l’occasion en
fusée interplanétaire, à l’image du vaisseau
utilisé par notre reporter Tintin. Sans faire la une, le
voici presque près à rouler sur la Lune. Plusieurs
autres Solex minimalistes sont aussi du voyage, des bleus des rouges,
les Microns ont la côte auprès des collectionneurs.
De ci de là, les discussions vont bon train, Monsieur le
curé fait son sermon, quelques bretons ont mis leurs chapeaux
ronds. Mais l’heure du départ approche, les 1700 et
1400 démarrent dans un nuage bleuté derrière
la voiture ouvreuse. Mais, la météo se gâte,
de « TranSolexbruine », la balade se métamorphose
rapidement en « TranSolexpluie ». Malgré la patine
des vieux modèles, le galet patine ! Un bon entraînement
pour Philippe Duhault du Solex Club Spirales (03 21 85 60 63). Il
prépare activement une escapade d’une vingtaine de
jours et 1500 km dans le Bénélux et est venu, ce week-end,
spécialement de Calais avec quelques amis.
L’arrêt au pied des remparts guérandais permet
à tous de s’essorer un peu et de se féliciter
d’avoir mis les vêtements de pluie avant le départ.
Scandale sur la Trans…
Compte tenu de la météo, le retour à la maison
de quartier se fait plus rapidement que prévu, il faut dire
que depuis de nombreuses années, la TranSolexine avait eu
droit à un franc soleil. Qu’importe, l’expo est
toujours là et les participants en profiteront pour y refaire
un tour. C’est aussi l’occasion de parler de l’Evènement
avec un grand E. Petit couac relevé par plusieurs participants,
la pancarte trimbalée par un « VéloSolexiste
» (mais en était-ce vraiment un ?) sur son 5000 : «
A vendre pneus neufs pour 5000 ». Jusque là pourquoi
pas ? Mais à l’annonce du prix, plus d’un à
failli avaler son sandwich de travers, « c’est 110 ».
Probablement « des Francs ?» comme le voudrait la logique
des prix habituellement pratiqués. « non des Euros
! ». C’est à dire le prix moyen d’un Solex
en état, avec 2 pneus, certes d’occasion, mais permettant,
par exemple, de parcourir à son guidon les 90 kilomètres
par jour. Restons raisonnables ! Un pneu reste un pneu, d’ailleurs
les participants ne s’y sont pas trompés ! Attitude
quelque peu néfaste alors que plusieurs clubs se démènent
pour relancer des fabrications diverses, mais surtout à moindre
coût. Qu’importe, la 11ème TranSolexine est dans
12 mois et on y sera, avec ou sans pneus neufs.
Sylvie et Franck Méneret
Maison de quartier de Méan Penhoët
1 rue Emile Combes
44600 St Nazaire
tél.02 40 66 04 50
EN TOURAINE
Le 29 septembre 2002 s’est déroulé la première
randonnée cyclomoteur de l’association Rétro
Mécanique Sud Touraine dont le siège est au Grand
Pressigny en Indre et Loire.
Cette association se veut conviviale, soidaire et a pour démarche
la sauvegarde du patrimoine mécanique en Sud Touraine.
Elle rassemble toutes les personnes voulant partager et mettre ne
commun sa passion .
C’est par un dimanche magnifiquement ensoleillé que
débutait notre premier rallye. Etaient présents plus
de 40 randonneurs venant du département 37, mais aussi de
la Seine Saint Denis, Val de Marne, Paris et de l’Onne représenté
par le club de St Germain du Corbéis dont Alan Artois est
le référent. Il faut dire que ses conseils nous ont
été profitables quant à ce premier essai.
Le matin, une exposition sur la place du village présentait
une palette de matériels notamment : des 3800, 2200, 1010,
660, un gitane et son moteir le poulain, un micron, des 5000, un
vélo vap, Silex à moteur Itom et des AV3 1, AV 32,
AV44, une motobécane bleu de 1959, des scooters, des 125
populo, et j’en oublie. (les solex étant majoritaires
!)
Deux boucles d’une trentaien de kilomètres étaient
au menu.
Le thème du premier parcours était la découverte
paysagère des vallées de la Claise et de la Creuse.
Qui dit vallées, dit aussi quelques côtes et plateaux,
ainsi, des inévitables tours de pédaliers ont du être
sollicité, ce qui nous fait dire, le solex peut être
associé à l’idée d’efforts physiques.
Séquence réconfort ! Une halte avec un vin d’honneur
offert par la municipalité de Barrou permettait ç
la population de découvrir les solex et autres deux roues,
et aux participants de faire plus ample connaissance.
A 13 heures, un repas bien mérité nous attendait au
bord de l’eau, à l’abri sous un lavoir du début
du siècle.
Un tableau digne des impressionnistes !, aussi apprécié
que les andouillettes au vin blanc et autres victuailles : Cafés,
palabres, deux pannes vite résolues et en route pour le circuit
de l’après-midi !
Thème : découverte du patrimoine bâti, église
XIII, dolmen, Château XI et XIII et paysages tourangeaux.
Point fort : la visite et le vin d’honneur (encore !) servi
au château du Chatelier, magnifique forteresse du moyen âge
avec ses douves, remparts défensifs et cour intérieure
où de nombreuses photos ont immortalisé l’alignement
de nos deux roues.
Tous les participants sont arrivés à bon port et sans
incident, les visages ensoleillés trahissant une certaine
fatigue, il ne restait plus qu’au fourgon assistance à
déposer les quatre montures tombées en panne sur les
dix derniers kilomètres.
Nous avons terminé avec le pot de l’amitié servi
à l’office du tourisme du Grand Pressigny ; à
la satisfaction de tous, le bilan affichait déjà qu’il
fallait reconduite cette expérience l’année
prochaine !
S.Rondard
ENTENTE FRANCO AMERICAINE
Après quelques difficultés, le Solex issu de Chine
est maintenant monté à Remiremont dans les Vosges,
grâce à l’impulsion d’Howie Selligman,
investisseur américain, mais surtout grand passionnée
du galet Outre Atlantique.
LE LIVRE
Vos réactions
Nous espérons que « Le VéloSolex de mon père
» (ISBN 2-7268-8569-1) aura satisfait la majorité de
ceux qui l’ont déjà acquis. Vos nombreux courriers
semblent le confirmer.
« C’est avec grande joie que j’ai reçu
le volume que vous venez de consacrer au VéloSolex et à
mon père, son inventeur. Je vous remercie pour tous les détails
que vous avez collectionnés avec, sans doute beaucoup de
soin et de patience, et qui sont si bien renseignés. »
Mme Françoise Maire, fille de Marcel Mennesson.
« Toutes nos félicitations pour la réalisation
de ce superbe livre à la mémoire du VéloSolex.
Nous tenons à vous en remercier bien sincèrement et
ce magnifique ouvrage nous rappellera les bonnes années VéloSolex.
» M et Mme Haumont
« Pour ce livre tant attendu, c’est le livre qu’il
fallait faire. Il ne doit pas y a voir grand chose à rajouter
… Superbes photos du N°129 et des usines ou proto Micron.
L’attente de quelques années en valait le coup. »
David Cunier
« J’ai parcouru cet ouvrage avec beaucoup de plaisir
et y ai découvert de nombreux détails intéressants.
Les images du proto de 1940, du modèle de présérie
ou encore du proto Micron valent à elles seules le détour
! J’ai beaucoup apprécié les digressions concernant
les modèles étrangers ou l’organisation des
stations services. Cet ouvrage est d’un accès simple,
bien construit et je pense que le VéloSolex se devait de
figurer dans cette collection reconnue. Cependant la multitude des
sujets abordés ne peut qu’éveiller la curiosité
et nul doute que nous verrons un jour, un livre encore plus détaillé
sur l’histoire du VéloSolex … Félicitations
pour tes recherches. » Stéphane Nicolas
«Avec beaucoup de plaisir, j’ai lu votre livre. Belle
réalisation : BRAVO. Agent Solex de 1954 à 1962, votre
livre à rafraîchi ma mémoire. » M.Mazarguil
« Je vous envoie toutes mes félicitations pour le livre.
Il faut le faire et surtout récupérer toute l’histoire
depuis le début. Un superbe document ! Je n’ai pas
eu de mal à l’avoir, mes amis passionnés l’ont
tous acheté. Ceci donne envie de racheter d’autres
Solex. » Jean Claude Regouby
« Bravo pour votre livre qui viendra compléter ma documentation
sur le Solex » Sébastien Rebet Degat
« Je viens de finir la lecture passionnante du « Solex
de mon père ». Merci pour toutes ces informations et
ces précisions. Lorsque j’ai commencé le métier
en septembre 77, je ne m’intéressais pas du tout au
Solex, pour moi, c’était surtout un truc idiot. Maintenant,
c’est moi qui pousse les jeunes à) mettre les mains
dedans. Il faut dire que maintenant (25 ans plus tard j’adore
les Solex. » Loïc Guyot
« Je me le suis procuré hier. Il est devenu mon livre
de chevet. Que d’informations ! » Gilles Patrux
«J’ai acheté ton livre qui est sympa comme tout…qui
montre bien toute « l’épopée » et
les photos d’usine et de production sont vraiment superbes.
» Cédric Chambrelan
« Bravo pour « le VéloSolex de mon père
» que je suis en train de dévorer, et qui a du représenter
un travail énorme. Il constitue un sans faute » Max
Polac
« Je viens d’acquérir le VéloSolex de
mon père. Mes félicitations. » Daniel Pelcat
« Le VéloSolex, on pense que lorsqu’on en a vu
un on en a vu mille (et même des millions) alors on se demande
ce qu’un nouveau livre sur le sujet va pouvoir apporter de
neuf … 337 documents, photos, dessins, publicités aussi
diverses que variées accompagnés de textes précis
sans vaine littérature … Tout ça dans 119 pages
et tout y est, depuis le radiateur centrifuge jusqu’au «
Solex Brommen Zonder Helm » en passant par le générateur
d’air comprimé … Pour ajouter quelque chose à
cette montagne de connaissances, il va falloir se lever de bonne
heure. » Bourdache (extraits de sa rubrique Z’humeurs
de LVM du 01/01/2003)
NDW:Vous pouvez acheter le livre de Franck Meneret "
Le VéloSoleX de mon père
"
en passant commande sur amazon.
Vos questions. Nos réponses
« Les premiers VéloSolex ont été vendus
sur Paris mais aussi en province. Le N°1055 fut vendu à
Moulins ». David C
La légende accompagnant le dépliant présenté
page 20 laisse entendre que les premiers modèles de 1946
furent uniquement vendus en région parisienne. Affirmation
qui émane du courrier du 14 juin 1946 joint à ce dépliant,
courrier à l’attention d’un candidat à
l’agence VéloSolex sur Nantes et sa région.
Gaston Chapelle y écrit : « Monsieur, en réponse
à votre estimée du 12 courant, dont nous vous remercions,
nous vous informons que nous commençons seulement la fabrication
de VéloSolex.
Cependant, étant donné que cette première série
est peu importante, sa diffusion est réservée à
la région parisienne, car nous désirons essentiellement
assurer le service après vente. … «
Il faudra attendre 2 ans et demi, le 6 janvier 1949, pour que notre
candidat reçoive d’autres nouvelles : « Comme
suite à votre lettre du 12 juin 1946, nous vous informons
que nous espérons rendre visite, dans la première
semaine de Février, à toutes les firmes de Nantes
qui ont posé leur candidature à l’Agence VéloSolex.
»
Probablement que les choses furent beaucoup plus rapides pour la
ville de Moulins.
Ami David, as-tu un bon de livraison, une facture ou tout autre
document précisant la date et le lieu de prise en main de
« 1055 » ?
« Je pense que les premiers 1400 équipés de
poignées noires et du repose pied à chevrons ont été
commercialisés et que pour le modèle de la page 42n
il ne s’agit pas d’un proto (j’en ai vu plusieurs
dans cette configuration). Les poignées blanches et le repose
pieds granuleux sont apparus en cours de production. » Stéphane
N
Les photos représentent bien un prototype identifiable à
ses pneus à pavés, à son échappement
de 660, à sa tringle de garde boue arrière de type
vélo et à son feu rouge. L’adaptation du porte-bagage
(sous la selle et sur les haubans arrière) laisse à
penser qu’il s’agit bien d’un travail artisanal
lié à un prototype.
Quant aux couleurs des poignées et à la modif du repose
pieds, il est fort probable qu’elle soit intervenue un peu
après le lancement du 1400. Pour preuve, la photo de couverture
du catalogue présente un 1400 à poignées noires
et le dessin de la publicité de novembre 1958 laisse imaginer
un repose pied nervuré.
Qui possède un 1400 ainsi équipé d’origine
? Si c’est le cas, envoyez-nous votre N° moteur et votre
N° cadre, pour que nous arrivions à mieux cerner ces
évolutions.
« Le modèle de présérie à cadre
soudé a l’air d’être en excellent état.
» Jean Claude R
C’est tout à fait normal, puisque les photos ont été
faites en 1942. Il était donc parfaitement neuf lors des
prises de vues.
Nos Corrections
Quelques inévitables erreurs se sont malheureusement glissées.
N’hésites pas à nous signaler d’autres
points sur lesquels vous ne seriez pas d’accord.
- Page 9, la 3ème photo de compresseur, celle du bas,
est à l’envers (prenez un miroir !)
- Page 35, fiche d’identité du 330 : le diamètre
du galet est de 45 mm et non pas de 47.5 comme je le pensais.
Valeur confirmée dans la note technique N°569 du 21
septembre 1953.
- Page 50, David Cunier apporte l’info suivante concernant
l’usine « C » installée sur le site de
Courbevoie. Elle est géographiquement implantée
sur Bois Colombes, commune adjacente à Courbevoie. On y
préparait les VSX avant expédition.
- Page 76, David nous précise que c’est en Octobre
1969 en non « en 1970 » que le 3800 Super Luxe - le
blanc - est sorti.
- Page 99, la photo intérieure de la Véloto présente
en fait un modèle à moteur Motobécane. La
différence avec la motorisation Solex ? Et bien la poignée
tournante sous le volant n’existe pas sur le modèle
Solex. Les phares sont ronds et chromés au lieu d’être
rectangulaires et noirs.
Quelques coquilles aussi :
- Page 72, « les triporteurs Crusson ont existé
sur base de 1700, 2200 et 3300 » et non sur « 700
» bien entendu !
- Page 76, c’est le S 3800 qui est classique. Le «
S 800 » aurait été plus adapté à
un livre sur Honda.
- Page 119, comment dater votre Solex ? : Le 3800 est évidemment
sorti en 06/1966 et non 06/0966. Mais vous aviez déjà
rectifié de vous-même.
SUR LE NET
Nous avons visité le site construit par Michel Martinez.
Il est entièrement dédié au 330. D’octobre
1953 à septembre 1955, ce modèle est vu en long, en
large et en travers. On y découvre beaucoup de documents,
un recensement des modèles de 330 actuellement en vie et
des conseils techniques pour leur entretien.
Alors n’hésitez pas à faire une visite à
ce site :
vsx330.free.fr
Vous recherchez toutes les infos sur l’événement
« Solex » 2003 ? Alors, une seule adresse sur la toile
:
www.eurosolexine.free.fr
Dépêchez-vous de vous inscrire ! 300 à 350
VéloSolex sont déjà attendus. Sortie incontournable
!
Howie Seligmann fait tout son possible pour défendre la cause
du Solex aux Etats-Unis, alors son site est incontournable pour
qui sait parler un peu anglais :
www.velosolexamerica.com
EVOLUTION
J’aimerais savoir à partir de quel numéro
de série le cache volant magnétique est devenu en
plastique ? Arnaud Fayard
Le changement des caches VM, de l’alu au plastique, peut être
daté de courant 1955. En octobre 1955, à la sortie
du 330 N°505 516, ce cache plastique se verra orné du
logo Solex venu de moulage. En effet, avec cet exemplaire l’inscription
« Solex » porté »e sur le cache moteur
en tôle, disparaît à cause du nouveau phare en
plastique monté sur glissières.
ST GERMAIN DU CORBEIS
« ‘Notre 7ème randonnée, cette année,
a réuni 51 solex de toute la région dans un rayon
de 150 km, pratiquement toutes les époques étaient
représentées.
Avant le départ chaque participant a reçu son cadeau
de bienvenue. Comme tous les ans, le soleil était présent.
Nous avons parcouru 50 km dans la région d’Alençon.
Le midi, le pique nique, puis l’après-midi direction
St Céneri et St Germain du Corbéis. Vers 17H30, le
pot de l’amitié et le tirage au sort pour la remise
de cadeaux. Tous les vélosolexistes sont repartis en se disant
à l’année prochaine pour la 8ème randonnée
le 1er dimanche de septembre 2003 (le 7).
Alain Artois
Tél : 02.33.26.68.01
e-mail : alain.artois@wanadoo.fr
UNE BONNE ADRESSE
Loïc Guyot est un des rares réparateurs actuels à
encore accepter des Solex dans son atelier. Alors si vous avez un
souci, et que vous habitez dans le 44 ou le 56, n’hésitez
pas à le contacter en vous recommandant du VéloSolex
Illustré.
Claude Flohic, Cycles - Cyclos, motoculture de plaisance.
Rue du Général de Gaulle. 5690 Muzillac
LA BOUTIQUE
Vous croyez tout savoir sur le VéloSoleX en ayant dans votre
bibliothèque "Le VéloSoleX de mon père".
Et bien détrompez vous. Joost Heesakkers a écrit pour
l'éditeur "Bomfierts", 128 pages de boheur. Le
livre est très orienté sur les productions hollandaises.
C'est normal, puisque notre ami vit la bas, roule en V.D. Heem et
se passionne pour tout ce qui porte l'inscription "SoleX made
in holland". Un seul défaut pour nous pauvre français,
il est écrit en hollandais...
Qu'importe, chaque page vous apportera son pesant de photos inédites,
vous fera découvrir la richesse de la production batave qui
démarra en 1948. Un seul regret partagé avec Joost
; que nous ne nous soyons pas connu avant la réalisation
réciproque de nos ouvrages. Quel enrichissement mutuel cela
aurait apporté!
Il ne nous reste plus qu'à le commander en ligne: chez bromfiets
ou par courrier:
Tagart Press - Bromfiets
Ambatchweg 2
NL2841 LZ MOORDRECHT
Son prix: 39.50 Euros + port
Merci a Daniel Gartner et Daniel Collignon qui ont aussi transmis
l'info.
Noubliez pas de consulter les rendez-vous
et les petites
annonces
Le VSI est une lettre d'information rédigé par
Franck
MENERET
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