VSI n°60
AML GC17 : Franck MENERET
16 ch de Bellevue 44360 ST ETIENNE DE MONTLUC
Tel : 02 40 86 90 40 - E-Mail : amlgc17(chez)free.fr - Web : www.amlgc17.fr
(merci de remplacer le "(chez)" par un "@")
Nous n’avons qu’une seule chose à vendre : La passion ! Et en plus elle est gratuite !

Janvier 2003

A NE PAS MANQUER

Le 1er Février, vous pourrez trouver dans les kiosques le N°330 de La Vie de la Moto. Rien que par ce N°, il est forcément un collector pour tout amateur de VéloSolex (330 ou autres) qui se respecte. Mais quand vous saurez qu’un dossier complet de 5 pages vous permettra d’apprendre encore plein de choses sur votre monture préférée… Ne le manquez pas !
(Le dernier dossier consacré au VéloSolex dans LVM remontant au 01/01/1989 est malheureusement épuisé depuis bien longtemps).

Nous nous joignons à Guy Maurice pour vous souhaiter une …

 

REVUE DE PRESSE

Trouvé par Renan, un article de 2 pages dans Système D 677 de Juin 2002.
Le B A BA de l’entretien du 3800 y est décrit dans la rubrique « Mécanique ».
Membrane de pompe, filtre à ar, bougie, gicleur et freins y sont passés en revue.

 

A LA POSTE

J’ai lu dans le petit bouquin accompagnant les timbres des « Dix motos de légende » que « le sauveur de Terrot, Edmond Padovani, engagé comme pilote dans les années 30 devient directeur de l’usine en 1935. Il conçoit le monocylindre culbuté de 500 cm3 qui sera le succès de la marque et rénove les petites cylindrées (…) Redoublant d’ingéniosité, des modèles économiques voient le jour comme le Lutin. On lui doit les premières études sur le Vélosolex. »

Gilles Patrux

Info plutôt surprenante qui risque d epasser comme une lettre à la poste …
Marcel Mennesson a probablement été un homme trop discret pour qu’on affecte ainsi les premières études du VSX à un autre. Edmond Padovani fut u n »grand » du monde de la moto, mais n’a, à notre connaissance, jamais touché au Solex. Sauf peut-être pour se rendre à l’usine de Dijon ? Qui sait ?
De plus son premier « galet » n’est-il pas la Cyclorette à moteur « maison », plutôt que le Lutin qui reprenait le moteur du Bima Peugeot ?

 

TranSOLEXINE

Ca patine !
Pour sa 10ème édition, la TranSolexine a réuni 115 machines à galets. L’événement fut bien arrosé par la pluie.

Tout avait pourtant bien commencé, sous un ciel clément, le samedi. En guise de bougies d’anniversaire, une belle expo, qui durera jusqu’à la fin du mois, regroupait une quinzaine de modèles anciens ou originaux, comme cette voiture Bellier, pour enfant, à moteur de Solex. Le participant est donc baigné dans l’ambiance dès son arrivée, à la maison de quartier de Méans Penhouët. EN guise de prologue, et innovation de l’année, le samedi après-midi est consacré à l’épreuve du ¼ de litre. Prenez plusieurs VéloSolex, mettez y précisément 250 cm3 du breuvage favori de nos machines à galet, et lâchez les « fauves » sur une piste d’1,3 km. A ce petit jeu, c’est Marcel Peyroulan qui fera le meilleur score avec 52 minutes de rotation. Détail amusant, plusieurs participants s’arrêteront simultanément, preuve que le VéloSolex a une conso régulière !

En remontant le temps.

Dimanche matin, le temps se maintient. Tous les participants sont fin prêts, les vêtements de pluie prudemment fixés sur les porte bagages ou dans la remorque de David. Une Motobécane BG et un Lutin dijonnais sont là pour montrer qu’il n’y a pas que le Solex dans la vie. Dans la ville de St Nazaire, ils sont tout de même une majorité à s’élancer à l’assaut des « chantiers », les paquebots de croisière en construction ne sourcillent pas au passage de la meute des 2200 et 5000, qui arrive bientôt sur le remblai de La Baule. De l’ambiance « sortie d’usine » des années 50 propice au seul 300, nous voici maintenant dans l’ambiance « Bon chic Bon genre » des années 70 et des 3800. Les Solex, intemporels continuent leur route à travers les marais salants pour finalement s’arrêter à Piriac. Pique-nique pour tout le monde et repos bénéfique pour les galets.

Il a plu sur la Lune.

Jean Bernard en profite pour nous présenter son Micron rouge qui s’est transformé pour l’occasion en fusée interplanétaire, à l’image du vaisseau utilisé par notre reporter Tintin. Sans faire la une, le voici presque près à rouler sur la Lune. Plusieurs autres Solex minimalistes sont aussi du voyage, des bleus des rouges, les Microns ont la côte auprès des collectionneurs.
De ci de là, les discussions vont bon train, Monsieur le curé fait son sermon, quelques bretons ont mis leurs chapeaux ronds. Mais l’heure du départ approche, les 1700 et 1400 démarrent dans un nuage bleuté derrière la voiture ouvreuse. Mais, la météo se gâte, de « TranSolexbruine », la balade se métamorphose rapidement en « TranSolexpluie ». Malgré la patine des vieux modèles, le galet patine ! Un bon entraînement pour Philippe Duhault du Solex Club Spirales (03 21 85 60 63). Il prépare activement une escapade d’une vingtaine de jours et 1500 km dans le Bénélux et est venu, ce week-end, spécialement de Calais avec quelques amis.
L’arrêt au pied des remparts guérandais permet à tous de s’essorer un peu et de se féliciter d’avoir mis les vêtements de pluie avant le départ.

Scandale sur la Trans…

Compte tenu de la météo, le retour à la maison de quartier se fait plus rapidement que prévu, il faut dire que depuis de nombreuses années, la TranSolexine avait eu droit à un franc soleil. Qu’importe, l’expo est toujours là et les participants en profiteront pour y refaire un tour. C’est aussi l’occasion de parler de l’Evènement avec un grand E. Petit couac relevé par plusieurs participants, la pancarte trimbalée par un « VéloSolexiste » (mais en était-ce vraiment un ?) sur son 5000 : « A vendre pneus neufs pour 5000 ». Jusque là pourquoi pas ? Mais à l’annonce du prix, plus d’un à failli avaler son sandwich de travers, « c’est 110 ». Probablement « des Francs ?» comme le voudrait la logique des prix habituellement pratiqués. « non des Euros ! ». C’est à dire le prix moyen d’un Solex en état, avec 2 pneus, certes d’occasion, mais permettant, par exemple, de parcourir à son guidon les 90 kilomètres par jour. Restons raisonnables ! Un pneu reste un pneu, d’ailleurs les participants ne s’y sont pas trompés ! Attitude quelque peu néfaste alors que plusieurs clubs se démènent pour relancer des fabrications diverses, mais surtout à moindre coût. Qu’importe, la 11ème TranSolexine est dans 12 mois et on y sera, avec ou sans pneus neufs.

Sylvie et Franck Méneret
Maison de quartier de Méan Penhoët
1 rue Emile Combes
44600 St Nazaire
tél.02 40 66 04 50

 

EN TOURAINE

Le 29 septembre 2002 s’est déroulé la première randonnée cyclomoteur de l’association Rétro Mécanique Sud Touraine dont le siège est au Grand Pressigny en Indre et Loire.

Cette association se veut conviviale, soidaire et a pour démarche la sauvegarde du patrimoine mécanique en Sud Touraine.
Elle rassemble toutes les personnes voulant partager et mettre ne commun sa passion .
C’est par un dimanche magnifiquement ensoleillé que débutait notre premier rallye. Etaient présents plus de 40 randonneurs venant du département 37, mais aussi de la Seine Saint Denis, Val de Marne, Paris et de l’Onne représenté par le club de St Germain du Corbéis dont Alan Artois est le référent. Il faut dire que ses conseils nous ont été profitables quant à ce premier essai.
Le matin, une exposition sur la place du village présentait une palette de matériels notamment : des 3800, 2200, 1010, 660, un gitane et son moteir le poulain, un micron, des 5000, un vélo vap, Silex à moteur Itom et des AV3 1, AV 32, AV44, une motobécane bleu de 1959, des scooters, des 125 populo, et j’en oublie. (les solex étant majoritaires !)
Deux boucles d’une trentaien de kilomètres étaient au menu.
Le thème du premier parcours était la découverte paysagère des vallées de la Claise et de la Creuse.
Qui dit vallées, dit aussi quelques côtes et plateaux, ainsi, des inévitables tours de pédaliers ont du être sollicité, ce qui nous fait dire, le solex peut être associé à l’idée d’efforts physiques.
Séquence réconfort ! Une halte avec un vin d’honneur offert par la municipalité de Barrou permettait ç la population de découvrir les solex et autres deux roues, et aux participants de faire plus ample connaissance.
A 13 heures, un repas bien mérité nous attendait au bord de l’eau, à l’abri sous un lavoir du début du siècle.
Un tableau digne des impressionnistes !, aussi apprécié que les andouillettes au vin blanc et autres victuailles : Cafés, palabres, deux pannes vite résolues et en route pour le circuit de l’après-midi !
Thème : découverte du patrimoine bâti, église XIII, dolmen, Château XI et XIII et paysages tourangeaux.
Point fort : la visite et le vin d’honneur (encore !) servi au château du Chatelier, magnifique forteresse du moyen âge avec ses douves, remparts défensifs et cour intérieure où de nombreuses photos ont immortalisé l’alignement de nos deux roues.
Tous les participants sont arrivés à bon port et sans incident, les visages ensoleillés trahissant une certaine fatigue, il ne restait plus qu’au fourgon assistance à déposer les quatre montures tombées en panne sur les dix derniers kilomètres.
Nous avons terminé avec le pot de l’amitié servi à l’office du tourisme du Grand Pressigny ; à la satisfaction de tous, le bilan affichait déjà qu’il fallait reconduite cette expérience l’année prochaine !

S.Rondard

 

ENTENTE FRANCO AMERICAINE

Après quelques difficultés, le Solex issu de Chine est maintenant monté à Remiremont dans les Vosges, grâce à l’impulsion d’Howie Selligman, investisseur américain, mais surtout grand passionnée du galet Outre Atlantique.

 

LE LIVRE

Vos réactions

Nous espérons que « Le VéloSolex de mon père » (ISBN 2-7268-8569-1) aura satisfait la majorité de ceux qui l’ont déjà acquis. Vos nombreux courriers semblent le confirmer.
« C’est avec grande joie que j’ai reçu le volume que vous venez de consacrer au VéloSolex et à mon père, son inventeur. Je vous remercie pour tous les détails que vous avez collectionnés avec, sans doute beaucoup de soin et de patience, et qui sont si bien renseignés. » Mme Françoise Maire, fille de Marcel Mennesson.
« Toutes nos félicitations pour la réalisation de ce superbe livre à la mémoire du VéloSolex. Nous tenons à vous en remercier bien sincèrement et ce magnifique ouvrage nous rappellera les bonnes années VéloSolex. » M et Mme Haumont
« Pour ce livre tant attendu, c’est le livre qu’il fallait faire. Il ne doit pas y a voir grand chose à rajouter … Superbes photos du N°129 et des usines ou proto Micron. L’attente de quelques années en valait le coup. » David Cunier
« J’ai parcouru cet ouvrage avec beaucoup de plaisir et y ai découvert de nombreux détails intéressants. Les images du proto de 1940, du modèle de présérie ou encore du proto Micron valent à elles seules le détour ! J’ai beaucoup apprécié les digressions concernant les modèles étrangers ou l’organisation des stations services. Cet ouvrage est d’un accès simple, bien construit et je pense que le VéloSolex se devait de figurer dans cette collection reconnue. Cependant la multitude des sujets abordés ne peut qu’éveiller la curiosité et nul doute que nous verrons un jour, un livre encore plus détaillé sur l’histoire du VéloSolex … Félicitations pour tes recherches. » Stéphane Nicolas
«Avec beaucoup de plaisir, j’ai lu votre livre. Belle réalisation : BRAVO. Agent Solex de 1954 à 1962, votre livre à rafraîchi ma mémoire. » M.Mazarguil
« Je vous envoie toutes mes félicitations pour le livre. Il faut le faire et surtout récupérer toute l’histoire depuis le début. Un superbe document ! Je n’ai pas eu de mal à l’avoir, mes amis passionnés l’ont tous acheté. Ceci donne envie de racheter d’autres Solex. » Jean Claude Regouby
« Bravo pour votre livre qui viendra compléter ma documentation sur le Solex » Sébastien Rebet Degat
« Je viens de finir la lecture passionnante du « Solex de mon père ». Merci pour toutes ces informations et ces précisions. Lorsque j’ai commencé le métier en septembre 77, je ne m’intéressais pas du tout au Solex, pour moi, c’était surtout un truc idiot. Maintenant, c’est moi qui pousse les jeunes à) mettre les mains dedans. Il faut dire que maintenant (25 ans plus tard j’adore les Solex. » Loïc Guyot
« Je me le suis procuré hier. Il est devenu mon livre de chevet. Que d’informations ! » Gilles Patrux
«J’ai acheté ton livre qui est sympa comme tout…qui montre bien toute « l’épopée » et les photos d’usine et de production sont vraiment superbes. » Cédric Chambrelan
« Bravo pour « le VéloSolex de mon père » que je suis en train de dévorer, et qui a du représenter un travail énorme. Il constitue un sans faute » Max Polac
« Je viens d’acquérir le VéloSolex de mon père. Mes félicitations. » Daniel Pelcat
« Le VéloSolex, on pense que lorsqu’on en a vu un on en a vu mille (et même des millions) alors on se demande ce qu’un nouveau livre sur le sujet va pouvoir apporter de neuf … 337 documents, photos, dessins, publicités aussi diverses que variées accompagnés de textes précis sans vaine littérature … Tout ça dans 119 pages et tout y est, depuis le radiateur centrifuge jusqu’au « Solex Brommen Zonder Helm » en passant par le générateur d’air comprimé … Pour ajouter quelque chose à cette montagne de connaissances, il va falloir se lever de bonne heure. » Bourdache (extraits de sa rubrique Z’humeurs de LVM du 01/01/2003)

NDW:Vous pouvez acheter le livre de Franck Meneret
" Le VéloSoleX de mon père "
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Vos questions. Nos réponses

« Les premiers VéloSolex ont été vendus sur Paris mais aussi en province. Le N°1055 fut vendu à Moulins ». David C
La légende accompagnant le dépliant présenté page 20 laisse entendre que les premiers modèles de 1946 furent uniquement vendus en région parisienne. Affirmation qui émane du courrier du 14 juin 1946 joint à ce dépliant, courrier à l’attention d’un candidat à l’agence VéloSolex sur Nantes et sa région.
Gaston Chapelle y écrit : « Monsieur, en réponse à votre estimée du 12 courant, dont nous vous remercions, nous vous informons que nous commençons seulement la fabrication de VéloSolex.
Cependant, étant donné que cette première série est peu importante, sa diffusion est réservée à la région parisienne, car nous désirons essentiellement assurer le service après vente. … «
Il faudra attendre 2 ans et demi, le 6 janvier 1949, pour que notre candidat reçoive d’autres nouvelles : « Comme suite à votre lettre du 12 juin 1946, nous vous informons que nous espérons rendre visite, dans la première semaine de Février, à toutes les firmes de Nantes qui ont posé leur candidature à l’Agence VéloSolex. »
Probablement que les choses furent beaucoup plus rapides pour la ville de Moulins.
Ami David, as-tu un bon de livraison, une facture ou tout autre document précisant la date et le lieu de prise en main de « 1055 » ?

« Je pense que les premiers 1400 équipés de poignées noires et du repose pied à chevrons ont été commercialisés et que pour le modèle de la page 42n il ne s’agit pas d’un proto (j’en ai vu plusieurs dans cette configuration). Les poignées blanches et le repose pieds granuleux sont apparus en cours de production. » Stéphane N
Les photos représentent bien un prototype identifiable à ses pneus à pavés, à son échappement de 660, à sa tringle de garde boue arrière de type vélo et à son feu rouge. L’adaptation du porte-bagage (sous la selle et sur les haubans arrière) laisse à penser qu’il s’agit bien d’un travail artisanal lié à un prototype.
Quant aux couleurs des poignées et à la modif du repose pieds, il est fort probable qu’elle soit intervenue un peu après le lancement du 1400. Pour preuve, la photo de couverture du catalogue présente un 1400 à poignées noires et le dessin de la publicité de novembre 1958 laisse imaginer un repose pied nervuré.
Qui possède un 1400 ainsi équipé d’origine ? Si c’est le cas, envoyez-nous votre N° moteur et votre N° cadre, pour que nous arrivions à mieux cerner ces évolutions.

« Le modèle de présérie à cadre soudé a l’air d’être en excellent état. » Jean Claude R
C’est tout à fait normal, puisque les photos ont été faites en 1942. Il était donc parfaitement neuf lors des prises de vues.

Nos Corrections

Quelques inévitables erreurs se sont malheureusement glissées. N’hésites pas à nous signaler d’autres points sur lesquels vous ne seriez pas d’accord.

  • Page 9, la 3ème photo de compresseur, celle du bas, est à l’envers (prenez un miroir !)
  • Page 35, fiche d’identité du 330 : le diamètre du galet est de 45 mm et non pas de 47.5 comme je le pensais. Valeur confirmée dans la note technique N°569 du 21 septembre 1953.
  • Page 50, David Cunier apporte l’info suivante concernant l’usine « C » installée sur le site de Courbevoie. Elle est géographiquement implantée sur Bois Colombes, commune adjacente à Courbevoie. On y préparait les VSX avant expédition.
  • Page 76, David nous précise que c’est en Octobre 1969 en non « en 1970 » que le 3800 Super Luxe - le blanc - est sorti.
  • Page 99, la photo intérieure de la Véloto présente en fait un modèle à moteur Motobécane. La différence avec la motorisation Solex ? Et bien la poignée tournante sous le volant n’existe pas sur le modèle Solex. Les phares sont ronds et chromés au lieu d’être rectangulaires et noirs.

Quelques coquilles aussi :

  • Page 72, « les triporteurs Crusson ont existé sur base de 1700, 2200 et 3300 » et non sur « 700 » bien entendu !
  • Page 76, c’est le S 3800 qui est classique. Le « S 800 » aurait été plus adapté à un livre sur Honda.
  • Page 119, comment dater votre Solex ? : Le 3800 est évidemment sorti en 06/1966 et non 06/0966. Mais vous aviez déjà rectifié de vous-même.

 

SUR LE NET

Nous avons visité le site construit par Michel Martinez. Il est entièrement dédié au 330. D’octobre 1953 à septembre 1955, ce modèle est vu en long, en large et en travers. On y découvre beaucoup de documents, un recensement des modèles de 330 actuellement en vie et des conseils techniques pour leur entretien.
Alors n’hésitez pas à faire une visite à ce site :
vsx330.free.fr

Vous recherchez toutes les infos sur l’événement « Solex » 2003 ? Alors, une seule adresse sur la toile :
www.eurosolexine.free.fr

Dépêchez-vous de vous inscrire ! 300 à 350 VéloSolex sont déjà attendus. Sortie incontournable !
Howie Seligmann fait tout son possible pour défendre la cause du Solex aux Etats-Unis, alors son site est incontournable pour qui sait parler un peu anglais :
www.velosolexamerica.com

 

EVOLUTION

J’aimerais savoir à partir de quel numéro de série le cache volant magnétique est devenu en plastique ? Arnaud Fayard
Le changement des caches VM, de l’alu au plastique, peut être daté de courant 1955. En octobre 1955, à la sortie du 330 N°505 516, ce cache plastique se verra orné du logo Solex venu de moulage. En effet, avec cet exemplaire l’inscription « Solex » porté »e sur le cache moteur en tôle, disparaît à cause du nouveau phare en plastique monté sur glissières.

 

ST GERMAIN DU CORBEIS

« ‘Notre 7ème randonnée, cette année, a réuni 51 solex de toute la région dans un rayon de 150 km, pratiquement toutes les époques étaient représentées.
Avant le départ chaque participant a reçu son cadeau de bienvenue. Comme tous les ans, le soleil était présent. Nous avons parcouru 50 km dans la région d’Alençon. Le midi, le pique nique, puis l’après-midi direction St Céneri et St Germain du Corbéis. Vers 17H30, le pot de l’amitié et le tirage au sort pour la remise de cadeaux. Tous les vélosolexistes sont repartis en se disant à l’année prochaine pour la 8ème randonnée le 1er dimanche de septembre 2003 (le 7).

Alain Artois
Tél : 02.33.26.68.01
e-mail : alain.artois@wanadoo.fr

 

UNE BONNE ADRESSE

Loïc Guyot est un des rares réparateurs actuels à encore accepter des Solex dans son atelier. Alors si vous avez un souci, et que vous habitez dans le 44 ou le 56, n’hésitez pas à le contacter en vous recommandant du VéloSolex Illustré.
Claude Flohic, Cycles - Cyclos, motoculture de plaisance.
Rue du Général de Gaulle. 5690 Muzillac

 

LA BOUTIQUE

Vous croyez tout savoir sur le VéloSoleX en ayant dans votre bibliothèque "Le VéloSoleX de mon père". Et bien détrompez vous. Joost Heesakkers a écrit pour l'éditeur "Bomfierts", 128 pages de boheur. Le livre est très orienté sur les productions hollandaises. C'est normal, puisque notre ami vit la bas, roule en V.D. Heem et se passionne pour tout ce qui porte l'inscription "SoleX made in holland". Un seul défaut pour nous pauvre français, il est écrit en hollandais...
Qu'importe, chaque page vous apportera son pesant de photos inédites, vous fera découvrir la richesse de la production batave qui démarra en 1948. Un seul regret partagé avec Joost ; que nous ne nous soyons pas connu avant la réalisation réciproque de nos ouvrages. Quel enrichissement mutuel cela aurait apporté!
Il ne nous reste plus qu'à le commander en ligne: chez bromfiets
ou par courrier:
Tagart Press - Bromfiets
Ambatchweg 2
NL2841 LZ MOORDRECHT

Son prix: 39.50 Euros + port

Merci a Daniel Gartner et Daniel Collignon qui ont aussi transmis l'info.

Noubliez pas de consulter les rendez-vous et les petites annonces


VSI n°60

Le VSI est une lettre d'information rédigé par Franck MENERET



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